UN ACCOUCHEMENT ZEN
UN ACCOUCHEMENT ZEN
Nos 3 conseils
pour arriver tranquille au bout de votre accouchement :
1. SURMONTER L’ANGOISSE DE L’ACCOUCHEMENT
Il y a depuis toujours, beaucoup des craintes à propos
de l’accouchement.
Avec l’évolution de la médecine, ce moment est aujourd’hui maitrisé, nous constatons que les femmes continuent de le vivre avec une forte angoisse de mourir. Ces cauchemars s’appuient sur des peurs de perte d’identité, de défaillance de désintègrerions. De plus mettre au monde un enfant, c’est être capable de le ‘’lâcher ‘’, d’offrir au monde une nouvelle vie.
Avec l’évolution de la médecine, ce moment est aujourd’hui maitrisé, nous constatons que les femmes continuent de le vivre avec une forte angoisse de mourir. Ces cauchemars s’appuient sur des peurs de perte d’identité, de défaillance de désintègrerions. De plus mettre au monde un enfant, c’est être capable de le ‘’lâcher ‘’, d’offrir au monde une nouvelle vie.
Et cette prise
d’autonomie du bébé est parfois vécue comme un morcellement de soi. Le
psychisme est à dépassement de termes, ou encore entravé le bon déroulement du
travail : les contractions restent inefficaces et il faut procéder à une
césarienne.
2. ÊTRE BIEN INFORMER SUR L’ACCOUCHEMENT
Arriver
détendue à la maternité est donc en soi un bon point pour le déroulement de
l’accouchement, même si l’imprévu peut toujours arriver. Plus la femme est en
confiance, mieux elle connait l’équipe obstétricale, et plus les choses
devraient bien se passer. Pour cela, la future maman ne doit pas hésiter à
assister aux cours de préparation à la naissance. Ces cours sont généralement
dispensés par les sages femmes la maternité. Ils donnent l’occasion de
s’informer sur la grossesse et l’accouchement. Notamment : le vrai ou faux
travail, les douleurs, la suite de péridurale,…
Beaucoup
des mères pensent ne pas avoir besoin de cette préparation, et elles ont tout
faux. En parlant avec les sages femmes, vous acquérez de l’assurance.
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3. A FOND PENDANT L’ACCOUCHEMENT
Pour bien oxygéner l’utérus et pour calmer la
douleur, c’est un peu comme du yoga ou la sophrologie. Apprendre à respirer en
profondeur, à se détendre et rester positive pour pousser l’enfant.
Nous
savons que la respiration abdominale est essentielle dans les moments des
paniques et bien elle l’est aussi pendant le travail.
Fatou ANTIS MUDIOMBO
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